
Trois mois se sont écoulés, il est temps de renouveler mon visa. Direction Lomé pour se rendre au service des passeports. Toutes les démarches d’obtention de documents officiels (nationalité, carte d’identité) apparaissent complexes. Un billet discrètement donné les rendent étonnamment plus simples… Refusant de contribuer à un tel système, j’attends trois jours avant de récupérer mon visa.
Nous en profitons pour passer quelques temps dans la capitale. Le centre artisanal génial, le musée fermé. On prend des coups de soleil à la plage, mangeons pizza et hamburger, enfilons nos tenues traditionnelles pour nous rendre à un mariage. Le campus universitaire, certes verdoyant et récemment doté du wifi, manque néanmoins d’infrastructures. Le défaut de places en fac aurait selon certains une incidence sur les résultats du bac.
La capitale est davantage développée que notre Kpalimé. Les maisons sont toutes numérotées, mais le système ne me semble pas très clair. Les artères principales sont pavées avec trottoirs et pistes cyclables, empruntées par les motos. Les routes secondaires sont encore goudronnées mais les trottoirs disparaissent. Les autres voies sont des rues de sable.
Nous logeons dans l’une d’entre elle, chez Dové, un ami qui loue une chambre chez une vieille dame. Ses poules, dindons, chèvres et chats se reposent paisiblement au soleil pendant que le chien fait le mur tel un Yamakassi.
Nous en profitons pour passer quelques temps dans la capitale. Le centre artisanal génial, le musée fermé. On prend des coups de soleil à la plage, mangeons pizza et hamburger, enfilons nos tenues traditionnelles pour nous rendre à un mariage. Le campus universitaire, certes verdoyant et récemment doté du wifi, manque néanmoins d’infrastructures. Le défaut de places en fac aurait selon certains une incidence sur les résultats du bac.
La capitale est davantage développée que notre Kpalimé. Les maisons sont toutes numérotées, mais le système ne me semble pas très clair. Les artères principales sont pavées avec trottoirs et pistes cyclables, empruntées par les motos. Les routes secondaires sont encore goudronnées mais les trottoirs disparaissent. Les autres voies sont des rues de sable.
Nous logeons dans l’une d’entre elle, chez Dové, un ami qui loue une chambre chez une vieille dame. Ses poules, dindons, chèvres et chats se reposent paisiblement au soleil pendant que le chien fait le mur tel un Yamakassi.
A Kpalimé, la saison estivale accueille la 3ème édition de la foire artisanale, le festival Gododo sur la diversité culturelle et les nombreux expatriés sur les chantiers d’été. Katamasu prend part aux festivités quotidiennes et se produit sur scène lors de la soirée d’élection de miss Togo 2010: deux danses sous les gouttes, saison des pluies oblige !